Svp aider moi donné moi au moins le résumé c juste un qcm svp merci davance our les personnes qui me comprennent Un joli roman, mais qui ma mise mal à laise. Je nai pas aimé la façon dont Elpsbeth énumère les défauts de sa soeur, en particulier sa rigidité, son obsession de la propreté, son inquiétude pour les apparences et pour les convenances. Bien que ces défauts soient réels, ils ont lair dexcuser par avance sa conduite ainsi que celle dAlec ; sous-entendrait-on que Margaret a delle-même éloigné son mari, au point de le parachuter dans les bras de sa propre soeur? Cest dautant plus agaçant quon observe Margaret, totalement aveugle, se plier perpétuellement en quatre pour rendre la vie de sa soeur et de son mari la plus agréable possible. La force de la trahison ma dérangée, et à aucun moment je nai été émue par les personnages, si ce nest éventuellement par la détresse de Margaret lorsquelle découvre la vérité. Champ lexical de léblouissement : distingué, éblouissement, splendeur, relayé par un jeu de lumière très pictural, témoins, les adjectifs de couleur rose, noir, claire, bleu, et lévocation même des doigts que la lumière traversait. Le rayonnement de Mme Arnoux est attirant dans la mesure où il est une manifestation de sa sensualité. Le cadre de la rencontre revêt un aspect féerique. Le roman, un monde labyrinthe où se perd le lecteur? Il la supposait dorigine andalouse, créole peut-être ; elle avait ramené des îles cette négresse avec elle? 2. Leurs yeux se rencontrèrent, la rencontre amoureuse en littérature. Harold se retourna. Dans lautre aile, à trois rangs en arrière, une vieille dame à cheveux blancs lui souriait en lui faisant gaiement un signe de la main. Harold se détourna. Cest la femme que jai vue au cimetière, se dit-il. Celle qui mangeait une tranche de pastèque. Je me demande bien ce quelle me veut. Voilà bien des raisons quon ne conteste plus, et on sétonne pourtant encore des choses nouvelles, on hésite avant de les admettre. Gustave Flaubert a du débuter par un ouvrage de premier ordre pour vaincre certains préjugés. Le plus curieux de ces préjugés, cest celui qui consiste à vouloir que la morale dun livre soit présentée de telle ou telle façon, consacrée par lusage. Si elle se présente autrement, fût-ce dune manière encore plus frappante et plus incisive, le livre est déclaré immoral. O rengaine! que ton règne est difficile à détruire! -Excusez-moi de nêtre pas venue plus tôt et désignant le petit portefeuille grenat couvert de palmes dor : Je lai brodé à votre intention, tout exprès. Il contient cette somme, dont les terrains de Belleville devaient répondre. We need to verify that you are not a robot generating spam. Il ny a pas de question morale comme on lentend soulevée dans ce livre. Toutes les questions, solidaires les unes des autres, sy présentent en bloc à lesprit, et chaque opinion sy juge delle-même. Quand il sait si bien faire vivre les figures de sa création, lauteur na que faire de montrer la sienne. Chaque pensée, chaque parole, chaque geste de chaque rôle exprime clairement à chaque conscience lerreur ou la vérité quil porte en soi. Dans un travail si bien fouillé, la lumière jaillit de partout et se passe dun résumé dogmatique. Ce nest pas être sceptique que de se dispenser dêtre pédant. Les personnages quun romancier appelle à se rencontrer sont normalement séparés, on le sait, par un espace qui les tient à distance, cette distance sera-t-elle franchie, quand et comment? La logique de la situation et des dispositions veut quelle le soit difficilement, le plus souvent loin en aval de la scène inaugurale pour le meilleur, ou pour le pire, ou pour rien du tout. Couple que lon pourrait comparer à un dealer sortant avec son crack lexpression nest pas de moi. Difficile de faire plus maudit. Correction dun commentaire fait en devoir maison après lecture analytique de lextrait de Bel-Ami à genoux jusquà la fin du roman. Problématique : Peut-on considérer le personnage picaresque comme un véritable héros? Elle défit son peigne ; tous ses cheveux blancs tombèrent. Document envoyé le 23-05-2018 par Marie-Hélène SIMONPIETRI ÂParce que cÃtait lui ; parce que cÃtait moi Robert Vigneault, Jean Rousset et le baroque, Études françaises, vol. 6, n o 1, 1970, p. 65-78.