de la pression sanguine, des immunosuppresseurs.. Travailleurs politiques, partisans et partisanes! produisent tout leur effet malgré nous, contre nous, elles nous Dans Réforme sociale ou révolution, Rosa Luxemburg soppose au réformisme défendu par Bernstein. Ce dernier, en raison de lenrichissement de la classe ouvrière, pense pouvoir enterrer le programme daction révolutionnaire du parti communiste allemand. Rosa Luxemburg refuse dabandonner lidée de la fin nécessaire du système capitaliste qui doit périr de ses propres contradictions, sans quoi le socialisme nest plus une nécessité historique. Parce que le développement du crédit ou la constitution de cartels économique accentuent les contradictions, la thèse de Bernstein est fausse. Rosa Luxemburg ne pense pas non plus que la classe ouvrière prend le pouvoir sous prétexte que les revendications syndicales progressent : les syndicats sont limités à la lutte pour le maintien des salaires et nont aucun pouvoir sur la réalité de lemploi ou le marché du travail. LEtat ne se socialise que dans la mesure où les intérêts de la classe dominante, la classe bourgeoise, correspondent à ceux de la classe ouvrière. Pour toutes ces raisons, les réformes sociales ne sont pas une fin en soi et ne peuvent remplacer lobjectif de la prise du pouvoir par le prolétariat. Le communisme doit nécessairement succéder au capitalisme et toute tentative de sadapter à ce système de production sont fautives : Rosa Luxemburg critique le système des coopérations ouvrières. Les espoirs nourris au sujet de la politique parlementaire ne peuvent quêtre déçus : les parlements ne défendront que les intérêts de la classe bourgeoise et le système capitaliste peut adopter dautres systèmes politiques que la démocratie. La réforme se distingue radicalement de la révolution puisque la révolution signifie le passage dun mode de production à un autre alors que la réforme sinscrit dans le même cadre de production capitaliste : Quiconque se prononce pour la voie des réformes par la loi au lieu de et par opposition à la conquête du pouvoir politique et à la révolution sociale, ne choisit pas en réalité une voie plus tranquille, plus sûre et plus lente qui conduirait au même but, mais il choisit un but différent : au lieu de linstauration dun nouvel ordre social, il choisit dapporter à lordre ancien uniquement des retouches Réforme sociale ou révolution? savent défendre les intérêts et la dignité de leur patrie mieux lexploitation de la campagne par la ville, lexpropriation de la rapport politique du Comité Central au XIVe congrès du Parti The First war between socialist states : the Hungarian revolution of 1956 and its impact Béla K. Király, Barbara Lotze, and Nándor F. Dreisziger, ed. Boulder, Colo : Social science monographs ; New York : Brooklyn college press : Columbia university press, 1984.-ix, 608 p ; 22 cm.-War and society in East Central Europe ; 11 East European monographs ; 152 Atlantic studies ; 30.-Bibliogr P. 553-593. Index-ISBN 0-88033-044-9. des stations de machines et de tracteurs. Ils disent : Mère Teresa, figure religieuse ou icône nationale? matières premières à notre industrie. Quant à nos intellectuels, Mao Zedong rencontra Staline dès son jour darrivée, à 18 heures au Kremlin. Les discussions portèrent notamment sur le contenu du Traité damitié, dalliance et daide mutuelle, qui devait instaurer le cadre général des rapports sino-soviétiques. Son but fondamental : assurer au maximum la satisfaction des Dans le modèle maoïste, le cadre à lécoute des masses doit rassembler leurs doléances et les retransmettre aux directions. La courroie de transmission des organisations sociales doit fonctionner dans les deux sens : assurer la mise en œuvre des décisions du parti, mais faire aussi connaître à ce dernier létat desprit de la population. Cette courroie de transmission na, finalement, fonctionné que dans un seul sens, laissant le pouvoir aveugle. Lemballement du Grand Bond a montré ce quil en coûtait : bien des points de rupture économiques et sociaux ont été franchis avant que le bureau politique ne réalise que le pays courrait à la catastrophe et quil ne commence à rectifier une orientation par trop maximaliste Sémi-colonisés. Par ce dernier mot, il entend les républiques Même dynamisme et même habileté dans le domaine intérieur : de 1950 à 1975, le premier ministre a été mêlé à toutes les décisions importantes, il a été chargé de résoudre mainte question épineuse, il a rédigé et présenté dinnombrables rapports. En janvier 1956, cest un discours de Zhou Enlai qui lance la campagne des Cent Fleurs. En septembre de la même année, son rapport devant le VIIIe congrès du Parti vante les réalisations du premier Plan Quinquennal sans celer pour autant difficultés et échecs. Trois ans plus tard, en août 1959, cest lui qui est chargé de reconnaître publiquement le caractère fantaisiste des chiffres de production avancés lors du Grand Bond et de réduire en conséquence les objectifs de lannée en cours. Comme tous les documents officiels de la période postérieure au Grand Bond, ses rapports de 1962 et 1964 devant lAssemblée nationale sont plus discrets et même évasifs, mais nen demeurent pas moins en cette période de vaches maigres les statistiques économiques sont, elles aussi, rares et insipides un peu plus factuels et détaillés que les déclarations des autres dirigeants. léchange de marchandises, qui est le propre non pas de toutes les capitalistes pour les empêcher de se faire la guerre et de.