Ce tutoiement, donné devant elle, fit rougir Mme Arnoux, comme un soufflet en plein visage. מכללת ביטוי הינה מכללה לעיצוב ואומנות אשר ממוקמת במתחם הבורסה שברמת גן. המכללה מציעה מגוון של לימודים אשר כולם סובבים סביב האומנות ועיצוב והם: לימודי אומנות, לימודי תרפיה באומנות, קואצינג באמצעות אומנות ומכינות קדם אקדמאיות כמו: תכשיטנות, עיצוב גרפי, עיצוב תעשייתי, אומנות, עיצוב אופנה, אדריכלות ועיצוב פנים. כמו כן, המכללה מציעה אימונים אישיים, קואצינג לעסקים, למשפחות, לזוגות ועוד. Même la participation de Frédéric à des événements politiques pourtant bouillonnants et à des circonstances parfois terribles et tragiques prennent de la fadeur à son contact. Il est si imbu de lui-même et sa personne est si ennuyante! Le lendemain, il laperçut tout en larmes. Elle avoua quelle pleurait ses péchés, et, comme il cherchait à les connaître, elle répondit en baissant les yeux Ne minterroge pas davantage! Frédéric naima point cette manière de sassocier, tout de suite, à sa fortune. Son ami témoignait trop de joie pour eux deux, et pas assez pour lui seul. Et celui-là, costumé en bailli, qui parle dans lembrasure de la fenêtre à une marquise-Pompadour? La marquise, cest Mme Vandaël, lancienne actrice du Gymnase, la maîtresse du Doge, le comte de Palazot. Voilà vingt ans quils sont ensemble ; on ne sait pourquoi. Avait-elle de beaux yeux, autrefois, cette femme-là! Quant au citoyen près delle, on le nomme le capitaine dHerbigny, un vieux de la vieille, qui na pour toute fortune que sa croix dhonneur et sa pension, sert doncle aux grisettes dans les solennités, arrange les duels et dîne en ville. Frédéric lattendait toujours quand ils devaient sortir elle était fort longue à disposer autour de son menton les deux rubans de sa capote et elle se souriait à elle-même, devant son armoire à glace. Puis passait son bras sur le sien et le forçant à se mirer près delle : 2 Frédéric Moreau confond souvent dans son esprit Rosanette et Mme Arnoux : La fréquentation de ces deux femmes faisait dans sa vie comme deux musiques pour loffrir à lautre E.S. I, pp 177-178. Dautre part et cest plus grave, Flaubert lui-même sy trompe en route pour les courses en compagnie de la Maréchale, Frédéric, lui tenant toujours le poignet, appuya ses lèvres, entre le gant et la manchette E.S, II, p. 2 ; or, à la fin du roman, Mme Arnoux répond à Frédéric, qui lui demande comment elle a découvert son amour : Cest un soir que vous mavez baisé le poignet, entre le gant et la manchette E.S, II, p 267. Mme Arnoux aurait donc hérité des souvenirs de Rosanette! Un homme en soutane, crépu, et de physionomie pétulante, avait déjà levé la main. Il déclara, en bredouillant, sappeler Ducretot, prêtre et agronome auteur dun ouvrage intitulé Des engrais. On le renvoya vers un cercle horticole. À huit heures du matin, il descendait des hauteurs de Montmartre, pour prendre le vin blanc dans la rue Notre-Dame-des-Victoires. Son déjeuner, que suivaient plusieurs parties de billard, le conduisait jusquà trois heures. Il se dirigeait alors vers le passage des Panoramas, pour prendre labsinthe. Après la séance chez Arnoux, il entrait à lestaminet Bordelais, pour prendre le vermouth ; puis, au lieu de rejoindre sa femme, souvent il préférait dîner seul, dans un petit café de la place Gaillon, où il voulait quon lui servît des plats de ménage, des choses naturelles! Enfin il se transportait dans un autre billard, et y restait jusquà minuit, jusquà une heure du matin, jusquau moment où le gaz éteint et les volets fermés, le maître de létablissement, exténué, le suppliait de sortir. Incarnations qui ne peuvent que susciter avec une force M. Des Aulnays tâcha de ladoucir, le cousin Joseph, le Précepteur, Forchambeaux lui-même. Le Baron pendant ce temps-là, réconfortait Cisy, qui, cédant à une faiblesse nerveuse, versait des larmes. Frédéric, au contraire, sirritait de plus en plus ; et lon serait resté là jusquau jour si le Baron navait dit pour en finir : Deslauriers. Ils forment dans notre mémoire comme une masse confuse M. en tant quhomme il se retrouve seul 225 le mot De retour chez Frédéric, elle retire son chapeau, ce qui révèle ses cheveux blancs. Frédéric est choqué. Pour cacher cette déception, il la complimente. Il soupçonne Mme Arnoux dêtre venue pour consommer leur relation ; excité dabord, il est pris dune répulsion assez inexplicable. Ils se font leurs adieux définitifs et elle part. La beauté physique, voire sensuelle de Madame Arnoux est certes soulignée peau brune, séduction de sa taille, mais elle passe rapidement au second plan, remplacée par une idéalisation de sa personne. Elle avait un large chapeau de paille, avec des rubans roses qui palpitaient au vent derrière elle. Ses bandeaux noirs, contournant la pointe de ses grands sourcils, descendaient très bas et semblaient presser amoureusement lovale de sa figure. Sa robe de mousseline claire, tachetée de petits pois, se répandait à plis nombreux. Elle était en train de broder quelque chose ; et son nez droit, son menton, toute sa personne se découpait sur le fond de lair bleu. .